Résidences croisées ⎹ Breizh-Renyon
En sept. 2024, Passerelle Centre d’art contemporain et La Cité des Arts de La Réunion ont lancé leur second appel à projets pour des résidences de recherche et d’expérimentation en arts visuels à l’intention des artistes émergents de La Réunion pour une résidence à Passerelle et de Bretagne pour une résidence à la Cité des Arts. La volonté affirmée est d’encourager la collaboration et la circulation des artistes entre différents territoires.
Après décision du jury, l'artiste lauréate du programme de résidence croisée entre la réunion et la Bretagne est Lucie Férézou qui sera accueillie à La Cité des Arts au printemps 2025. Passerelle recevra en résidence pendant l'été 2025, l'artiste réunionnaise Mohana Pajaniaye.
En partenariat avec La Cité des Arts, La Réunion
D'un océan, l'autre | en résidence à la Réunion...
au printemps 2025
La Cité des Arts de Saint-Denis de la Réunion accueillera en résidence au printemps 2025, l'artiste bretonne Lucie Férzou pour une résidence de recherche.
Lucie Férézou est artiste pluri-disciplinaire, elle est diplômée de l’EESAB Quimper en 2018 et de l’EHESS en 2021. Ses recherches portent sur les matières aqueuses, minérales, rosé, au travers du paysage et des histoires d’amour (intime, fiction, mythes, SF). Les matières du paysage inspirent sa façon de penser l’installation : comme des zones de mélange, de couleur et de texture, des espaces de rencontre et de mutation entre les corps et les sentiments. Le rose, la boue, l’eau et les fleurs ont toujours fait partie de son travail comme des repères sensoriels qui témoignent d’un univers incertain, féministe et parfois un peu magique.
D'un océan, l'autre | en résidence en Bretagne...
en été 2025
Mohana Pajaniaye est une artiste plasticienne née le 17/01/1998, à l'île de la Réunion
où elle vit et travail. Elle reçoit son DNSEP en 2021, à l’École Supérieure d'Art de la
Réunion. À travers le médium vidéos, elle réinterprète les récits mythologiques qui
ont bercé son enfance. D'origine indienne, elle puise dans cette culture des éléments
visuel, sensoriel et spirituelle, qu'elle vient ensuite mettre en scène. Réécrire ces
mythes est pour elle un moyen de créer son propre microcosme.
