![Vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-017.100x0-tiny.jpg)
![Marilou Poncin, Perfection is a lie so play with it, 2022, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-001.100x0-tiny.jpg)
![Marilou Poncin, Perfection is a lie so play with it, 2022, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-005.100x0-tiny.jpg)
![Vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-011.100x0-tiny.jpg)
![Marilou Poncin, Perfection is a lie so play with it, 2022, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-033.100x0-tiny.jpg)
![Vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-008.100x0-tiny.jpg)
![Tirdad Hashemi, She has been waiting for 12 years for only one paper, 2022, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-034.100x0-tiny.jpg)
![Pauline Ghersi, Jean-Hugues, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-027.100x0-tiny.jpg)
![François-Xavier Gbré, Gobelé, 2015/2022, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-012_2.100x0-tiny.jpg)
![Vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-025_2.100x0-tiny.jpg)
![Rayane Mcirdi, Le Croissant de feu, 2021 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-016_2.100x0-tiny.jpg)
![Cao Fei, Rumba II: Nomad, 2015 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-019_2.100x0-tiny.jpg)
![LaToya Ruby Frazier, vue de l'exposition À fleur de peau, 2022 - Passerelle Centre d'art contemporain, Brest © photo : Aurélien Mole](/site/assets/files/3415/cacp-2022-a-fleur-de-peau-024.100x0-tiny.jpg)
Ali Cherri, Cao Fei, Cui Jie, LaToya Ruby Frazier, François-Xavier Gbré, Pauline Ghersi, Cecilia Granara, Tirdad Hashemi, Rayane Mcirdi, Marilou Poncin, Romane de Watteville, Chloe Wise
À travers le regard de douze artistes, l’exposition « À fleur de peau » met en exergue les rapports entre la ville et ses habitant.e.s. Plus précisément, il s’agit d’observer comment l’architecture et l’urbanisme peuvent modifier et influencer nos comportements, nos corps et nos psychés. « À fleur de peau » ne cherche pas l’exhaustivité et l’impartialité et tente de dresser un panorama engagé et poétique de différentes approches artistiques.
Les villes évoluent, s’étendent, se fragmentent, parfois elles s’éteignent. Les habitant.e.s sont directement concerné.e.s et l’expérimentent tous les jours. Ces impacts sont très différents suivant l’origine sociale et les moyens financiers de chacun.e.
La « gentrification », l’un des processus de modification urbaine le plus connu, a reçu de nombreux échos récents dans la littérature, la sociologie ou encore l’urbanisme. Ce terme, issu de l’anglais, désigne les transformations de quartiers populaires engendrées par l’arrivée de classes sociales plus aisées qui réhabilitent des logements et importent des modes de vie et de consommation différents. Les plus pauvres et fragiles sont chassé.e.s plus ou moins violemment par le système des promoteurs ou tout simplement par la hausse des prix. Vivre dans un état d’incertitude, dans la conscience d’un départ inévitable, parfois dans des conditions d’insalubrité marque profondément les habitant.e.s de ces lieux. Les artistes Cao Fei (Chine, 1978) et François-Xavier Gbré (France, 1978) évoquent ce sujet par l’angle de l’absurde dans une mégapole chinoise pour l’une et par une méthode d’archivage du démantèlement d’un quartier... [lire plus]
Merci aux artistes présenté.e.s, aux prêteurs et mécènes dont le Fonds Régional d’Art Contemporain Alsace, M. Alexandar Dacić, aux galeries Ciaccia Levi, Exo Exo, Cécile Fakhoury, Imanes Farès, gb agency et Almine Rech